Et si le meilleur investissement, c’était vous.

Et si le meilleur investissement, c’était vous.

Surpris? Le meilleur investissement que vous puissiez faire, c’est de tout miser sur vous.  Au fil de mes rencontres avec les entrepreneurs, je m’aperçois qu’ils ont une volonté farouche d’augmenter leur présence pour être connus ou reconnus.  C’est excellent, mais souvent aussi, je constate une absence de vision globale de l’action à laquelle ils participent.  Non, ce n’est pas au pied du mur qu’on voit mieux le mur.  Au contraire, reculez, prenez de la distance. Respirez et pourquoi pas, laissez-vous aider !

Les réponses sont en nous
Le web et les attitudes à avoir pour une meilleure présence sont mes expertises, mais vous savez quoi? J’en ai une autre qui est chère à mon coeur, c’est l’humain.  Ses peurs, ses émotions, ses blocages et ses schémas.  Bref, je suis coach.  Cette casquette-là, je ne m’en sépare pas souvent (sauf lors de diners entre amis ou quand je suis en vacances…et encore).  « Bizarrement » d’ailleurs, beaucoup me confient leur parcours, leurs peurs, leurs joies.  Comme tout ça ne m’appartient pas, je suis la mieux placée pour écouter et donner des outils, car toutes les réponses sont en nous mais nous ne les voyons pas toujours.

Une vision extérieure
Souvent et pour l’avoir moi-même expérimenté dans mes entreprises, ont a tendance à avoir « la tête dedans ». Trop.  Du coup, impossible d’élargir notre champ de vision, impossible de voir les opportunités qui se présentent.  Avoir une vision extérieure est un acte, non pas de faiblesse, mais d’intelligence.  Ça peut être un coach, un membre de votre entourage qui a une expertise dans votre domaine, un mentor, un « dragon » (oui, c’est à la mode ces temps-ci et je dis oui… à condition qu’il ne crache pas).  Demandez un avis extérieur et surtout ne vous bloquez pas si cet avis va à l’encontre de vos idées.

Les réponses vous sont données
Dans la gestion quotidienne ou lorsque vous devez prendre certaines décisions, le doute s’installe parfois.  Je vais à gauche ou je vais à droite ? Tout droit peut-être ?  Si doute il y a, stoppez tout et écoutez ce qui se dit autour de vous.  Pour cela, faites preuve d’une très grande ouverture d’esprit.  Quand on a une idée précise, il est parfois difficile de nous faire déloger de nos positions.  Voici un exemple  d’écoute qui m’a évité de filer tout droit vers une catastrophe.  J’ai, en plus de mon activité, une entreprise alimentaire. À l’aube de la créer, je voulais m’installer dans une station touristique et vendre mes produits.  Dire que j’étais enthousiaste est faible, j’étais hyper excitée, je m’y voyais déjà. Tout était prêt, design de la boutique, jusqu’au design des serviettes en papier, c’est dire!  Une ou deux fois, mon comptable m’avait demandé une analyse de fréquentation du site.  Voyons donc!  C’est une des plus grosses stations touristiques, je ne peux que faire bingo, en plus mon produit est exclusif!  Ensuite, la personne responsable de la station, après quelques rencontres me dit « il faut savoir que c’est « quand même » saisonnier, pourrez-vous assumer les mois plus creux?  Hein? Quoi? Saisonnier, hou la la, grosse panique à bord.  En fait ce monsieur me donnait la réponse, celle-là même qui m’était donnée depuis quelque temps, mais que je ne voulais pas entendre.  En sortant de la réunion, j’ai dit : « Stop, j’arrête tout, je me pose et je recommence ».  J’ai repris mon projet depuis le début, j’ai décidé de ne pas vendre au détail, mais de distribuer dans les épiceries et c’était ça ma solution.  Avec le recul, je me dis que c’est une fabuleuse expérience, et une belle leçon.  Je la partager souvent parce qu’aujourd’hui, je suis plus attentive et plus ouverte à ce que beaucoup appellent les « signes » de la vie.
En plus d’être à l’écoute de ce qui se passe à l’extérieur de vous, ressentez ce qui se passe à l’intérieur. Écoutez votre coeur. Il vous donne souvent les indices pour prendre un chemin entrepreneurial en accord avec vos valeurs. Pour être aligné avec ce que vous êtes. Avec ce qui vous avez à offrir.

C’est un long chemin, c’est une belle histoire
Avec ses hauts et ses bas, ma vie professionnelle et personnelle a toujours été une belle aventure.  Au niveau personnel, je rencontre un coach ou thérapeute (comme vous voulez), une fois par mois, je remercie aussi le ciel d’avoir un mari qui m’écoute et sait me « décoder », j’ai autour de moi des personnes bienveillantes, douces et positives qui parfois n’ont aucune idée de ce que je fais comme travail et c’est très bien.  Au niveau professionnel, j’ai l’immense chance d’être entourée de personnes compétentes, de confiance, que j’aime et que j’estime chaque jour.   Et oui, le meilleur investissement, c’est soi-même.  J’y consacre du temps et comme on dit au Québec, c’est payant!

Toute ma gratitude vous est évidemment destinée, vous qui me lisez, qui me suivez, je vous porte dans mon cœur.  Et vous, êtes-vous conscient que votre meilleur investissement c’est vous-même?

Vos notes valent de l’or

Vos notes valent de l’or

Lignés, quadrillés, formats A4, formats US, petits pense-bêtes (et ne voyez ici aucune allusion), avec une jolie couverture (ou pas), ce sont les gardiens de nos idées, les défouloirs de nos émotions, les prémisses de nos projets.  J’ai nommé : les carnets de notes.

Pourquoi écrire ses idées, ses projets ?
Pour ne pas les oublier, très certainement et aussi pour éviter qu’elles ne restent coincées dans votre tête qui doit déjà gérer bien des choses.  Et puis, écrire ses idées, ses projets, ses objectifs, n’est-ce pas déjà leur donner vie? L’espace d’un instant? Certains se réaliseront, d’autres pas, mais ce qui est certain c’est qu’à un moment donné de votre vie, vous y reviendrez.

Un outil précieux
Dans un précédent article, je vous parlais de votre blogue d’entreprise.  Après avoir programmé plusieurs articles, c’est dans la vie de tous les jours que vous puiserez votre inspiration.  Ne laissez pas s’échapper des perles du quotidien en ne les notant pas.

Plutôt plume ou plutôt clavier ?
Personnellement, j’utilise les deux formules.  Le carnet de notes en papier m’offre des sensations d’écolière, du temps où je m’appliquais pour recopier mes devoirs.  J’adore écrire « à la main » dans un beau cahier avec un beau stylo (trié sur le volet, s’il vous plaît!).  Je dois quand même avouer que depuis que j’ai découvert Evernote, j’ai plutôt tendance à « taper » mes idées pour alimenter mes projets et ceux de mes clients.

Evernote : mon partenaire de travail
Evernote est un service en ligne gratuit qui permet de sauvegarder vos idées, tout ce que vous aimez, que vous entendez, que vous voyez sous la forme de textes, images, sons, documents, pages web, etc.
Pour utiliser Evernote, il faut juste créer un compte.  Je l’adore, parce qu’il est gratuit, il est convivial, pas besoin d’enregistrer et le fait qu’il synchronise toutes vos notes et carnets sur tous vos appareils vous permet de disposer de votre contenu en tout temps.  De plus, vous pouvez partager vos carnets ou notes avec d’autres personnes.

Le vocabulaire d’Evernote
Une note est un élément unique stocké dans Evernote.
Un carnet de notes est l’endroit où vous pouvez stocker toutes vos notes.
La synchronisation est le processus par lequel vos notes sont tenues à jour sur vos ordinateurs, téléphones, appareils mobiles et sur le web.
Votre compte est votre nom d’utilisateur et votre mot de passe permet à Evernote d’identifier vos notes et de les rendre accessibles n’importe où.

Richard Branson et ses cahiers d’école
Dans son autobiographie « Sir Richard Branson » parue aux éditions Scali, Richard Branson évoque ses carnets :
« Comme mes collaborateurs ont l’occasion de s’en rendre compte chaque fois que je n’arrive plus à mettre la main dessus, mon bien le plus précieux est un cahier d’école standard, susceptible d’être trouvé dans n’importe quelle papeterie de village ».  Il m’accompagne partout ; j’y consigne avec soin tous les commentaires entendus, qu’ils viennent de mes collaborateurs ou d’un quelconque autre interlocuteur.  J’y prends bonne note de tous mes coups de téléphone, de toutes mes réunions, j’y rédige le brouillon de toutes mes lettres et mes listes de coups de téléphone à donner.  Au fil des ans, j’en ai rempli une bibliothèque entière, et cette discipline que je me suis imposée de tout coucher noir sur blanc m’oblige à écouter plus attentivement les gens. »
C’était en 2006.  Sir Branson a-t-il continué ses cahiers ou bien s’est-il informatisé ? Mystère… En tout cas, son blogue est largement alimenté et est d’un dynamisme extraordinaire !

Allez de ce pas
Pas de carnets?  Allez de ce pas à la papeterie du coin et achetez le cahier qui vous inspire le plus ou fabriquez-le!  Ou bien essayez Evernote, ça ne vous coûte que de tenter l’expérience.  Vous ne savez pas quoi écrire (eh oui, ce n’est pas évident pour tout le monde)? Écrivez la météo, vos humeurs comme « 10-05-2014 : terminé le dossier X : super content et fier de moi ! Prochaine étape ? Dossier Z ». Enfin, et non des moindres, n’oubliez surtout pas de dater vos écrits ! C’est primordial.

Et vous? Plutôt plume ou plutôt clavier?

Avez-vous vraiment besoin de conseils?

Avez-vous vraiment besoin de conseils?

Est-ce que j’ai besoin de conseils? Franchement. C’est une réflexion que je me suis faite ce matin. Comme tout le monde, je fais défiler Facebook et/ou Instagram et je me rends compte que la plupart des coachs/webmarketeurs/ou autres, nous bombardent de contenu (ou de pub) pour nous aider à atteindre le bonheur, les 100 000 $ de chiffre à partir de zéro, constituer une communauté de 10 000 followers sur nos réseaux ou perdre du poids en 1 semaine, s’entraîner, manger sainement. Ouf! Vous ne trouvez pas que la pression est un peu forte? J’ai parfois l’impression qu’on est loin, très loin du compte, dans nos vies faites de hauts et de bas, de peurs et d’enthousiasme.

En plus, tous ces « conseils », au fond de nous, on les connait! On sait ce qu’on doit faire. Oh que oui! On le sait! Et si on ne le sait pas, on s’abonne, on google et on apprend.
La vérité c’est que ce n’est pas une question de savoir. C’est une question de faire. Et c’est là que le bât blesse. Bien évidemment, vous pouvez y arriver avec un coach qui va vous booster tout au long de votre programme et c’est génial. Vous pouvez faire partie d’une communauté d’entrepreneurs pour partager vos expériences. Mais est-ce suffisant? Non.

Je vous parle de mon expérience. Pendant des mois, j’ai fait partie de groupes « Mastermind ». Quand la flamme de la motivation m’animait, je me sentais portée. Est-ce que j’avançais? Non! Pire. Je me dévalorisais. Voir toutes ces femmes avec un business qui semblait florissant, programmes établis, vie « de rêve », faire ce que moi je voulais faire sans y arriver me donnait un coup au moral et m’envoyait direct dans les limbes du « Je suis nulle ». 

Et puis, j’ai connu Mel Robbins. Comment? Je ne m’en souviens même plus. Peut-être une conférence TED. Mel Robbins, c’est la fondatrice d’une règle de motivation toute simple : la règle des 5 secondes (The five seconds Rules).
Et bingo! J’ai compris. Je suis sortie de ma torpeur. De mes limbes sombres,  je suis remontée doucement vers une lumière apaisante.

5-4-3-2-1. Un décompte. Simple. Fallait y penser. Nike avait jeté les prémisses avec son « Just do it » mais il manquait quelque chose : l’impulsion et le contrôle de nos émotions pour justement faire ce qu’on a à faire. Parce que ce qu’on doit faire, on le sait. Pas la peine d’y passer des plombes. Par contre, le déclic pour commencer, c’est une autre paire de manches.

Ce que j’aime avec la règle des 5 secondes, c’est que vous l’essayez, et boom! Ça fonctionne.
Je ne pourrais que vous conseiller de lire son livre disponible en français et en anglais. Et je n’ai aucun intérêt financier à vous le faire acheter. C’est juste que lorsque je crois en quelque chose, je dois le partager.

Alors oui, je continue de me gaver des excellents conseils de coachs (personnels, marketing, financiers, etc.), de suivre des formations (à l’année longue en fait) mais désormais 5.4.3.2.1 action! J’applique ce que j’apprends. Ça fait toute une différence, croyez-moi.

Reprenez le pouvoir de votre vie et vous découvrirez que les conseils…c’est vous qui les donnerez pour aider les autres.
Et ceux que vous recevrez, vous les mettrez pleinement à profit!

Infolettre : les 7 ingrédients pour un lancement réussi

Infolettre : les 7 ingrédients pour un lancement réussi

Prenez une entreprise, ajoutez-y ses produits et services, saupoudrez le tout d’un brin de communication. Placez le tout dans une infolettre. Enfournez dans une stratégie cohérente.  Dégustez et évaluez.  Existe-t-il une recette miracle? Jamais.  Mettez cependant tous les atouts de votre côté. 

1 : Définissez votre objectif
Pour toute nouvelle initiative, il est important de définir les objectifs.  Votre infolettre va-t-elle aider votre entreprise à rechercher de nouveaux prospects? À fidéliser vos clients existants? À augmenter l’audience de votre site Web?  De ces objectifs va dépendre votre contenu.

2 : Ciblez
Parlez différemment en fonction de votre public cible.  Le contenu du message devra s’adapter surtout si vous avez plusieurs types de clients (BtoB et/ou BtoC). 

3 : Impliquez vos collaborateurs
Généralement, vos collaborateurs ont un angle de vue différent et apportent des idées nouvelles pour du contenu pertinent.  Une petite réunion pour faire jaillir les idées est souvent précieuse (et pas que pour une infolettre).  Si vous êtes travailleur autonome et travaillez seul, parlez avec votre entourage proche qui vous connaît bien et saura vous guider. Inspirez-vous aussi (voir l’article  » Allez donc voir ailleurs »)

4 : Prévoyez
Votre carnet de notes déborde…de notes!  Regroupez-les pour établir un plan d’action et planifier vos infolettres à l’avance.  Procéder de la sorte vous permet de tisser un fil conducteur et d’éviter les redondances.  Dans le cadre de promotions ou de concours, elle vous permet (à vous et votre équipe) de vous préparer.  Évidemment, et en fonction des actualités et des évolutions de votre activité, le contenu pourra être modifié.

5 : Ne pas être envahissant sauf…
Si vous êtes comme moi, vous vous êtes très certainement abonné à un tas d’infolettres.  Et dans la bande, certains acteurs sont envahissants.  Allez oust, on les supprime, pire, on se désabonne.  Tout est une question de dosage, et surtout de valeur ajoutée à votre information.  Ici, le retour suite à vos envois vous guidera pour adopter le meilleur comportement.  Ne le prenez pas personnellement!

6 : Une adaptation
Votre infolettre devrait être « responsive », c’est-à-dire qu’elle doit s’adapter aux différents écrans (PC, tablettes, mobile).  Les outils comme Cyberimpact (entreprise québécoise) ou Mailerlite (U.S.A) ou Mailchimp (U.S.A – et assez viellot) – pour ne citer que ceux-là –  le sont.  En 2020, le sujet du « responsive » devrait couler de source mais il faut quand même continuer à le rappeler. Au cas où…

7 : Le bon moment pour l’envoyer
Selon des études (datant de 2019), les infos à retenir sont :

– l’heure optimale dépend de votre business ;
– + de 85% des mails sont ouverts en semaine ;
– + de 90% des clics sont effectués en semaine ;
– en moyenne, les meilleurs moments pour envoyer une infolettre sont à 10h00 le matin, en milieu d’après-midi, et autour de 20h00 le soir.

En fonction de vos statistiques, vous saurez à quel moment vos abonnés ouvrent votre infolettre. 
Trois mots à retenir ici : Essayez, mesurez, réajustez.

Pour aller plus loin
Envoyer une infolettre de manière ponctuelle c’est déjà une très belle étape, surtout si vous commencez. Le niveau supérieur, c’est de créer des automations. Les mails en automatique étant un concept en soi. Restons connectés. Je vous prépare un article spécialement dédié à ce sujet.

Pourquoi devriez-vous créer un blog?

Pourquoi devriez-vous créer un blog?

Mais qu’est-ce qu’ils ont tous à parler de blog d’entreprise!  On était bien avant, non? Un site web bien ficelé et hop le tour était joué.  Alors quoi? C’est la nouvelle tendance? La nouvelle mode? T’es « in » si t’as un blog? Réponse : je ne vous dirais pas que vous êtes « out » si vous n’en avez pas, mais Mister Google, lui, vous dirait que oui. Les webmarketeurs aussi. Explications.

Pertinence et dynamisme
Depuis quelque temps, l’algorithme (ou pour faire simple, la manière utilisée par Google pour reconnaître et placer votre site web au top du palmarès) de Google a changé.  Avant, les mots-clés étaient importants pour référencer votre site internet.  Aujourd’hui aussi, sauf que ces mêmes mots-clés doivent être compris dans un contexte de contenu pertinent et dynamique, ce qu’offre exactement le blog.

Ok mais je parle de quoi ?
De ce que vous connaissez le mieux : votre domaine d’activité.  Le blog ne sert pas seulement à vendre vos produits, d’ailleurs si vous y allez comme ça, votre audience risque de vous lâcher assez vite.  Faites comme-ci vous étiez dans un cocktail, verre de champagne à la main en train de parler de votre activité à un groupe de personnes qui veulent en savoir plus sur le sujet.  (Heu, ne forcez pas sur le champagne, hein!).

FAQ et SAQ
Chaque activité offre un éventail de sujets à aborder pour captiver le lecteur.  Vous ne voyez pas de quoi vous pourriez parler sur le Web? Allez voir du côté des questions qui vous sont fréquemment posées par vos clients (FAQ ou Frequently Asked Questions) ou bien voyez quelles questions vos clients devraient vous poser (SAQ : Should Ask Question).  Vous aurez déjà là une belle base pour rédiger du contenu ou faire des vidéos.  Faites l’exercice : notez 10 FAQ et 10 SAQ.  Déjà 20 idées de contenu.  Pas belle la vie ?  Il y a d’autres techniques que j’aborderai dans un autre article.

Le temps
Oui, un blog ça prend du temps et c’est un investissement, bien souvent à moyen voire à long terme.  Toutefois, si vous êtes bien organisé, structuré vous y arriverez plus facilement.  Comme dans toute nouvelle expérience, c’est le début qui est plus fastidieux, après c’est une question d’organisation.  Mais quel plaisir lorsqu’un client ou futur client vous dira ou écrira : « J’ai lu ton dernier article, ça m’a parlé ! » ou « J’ai vu tes vidéos, ça m’a vraiment aidé ».
Parce que la clé pour diffuser du contenu de qualité c’est de résoudre un problème qu’un internaute a. Tout simplement. Ne pensez à rien d’autre. C’est juste ça! Pensez-y. Que faites-vous quand vous voulez une réponse à un problème ou à une question? Vous demandez à Google!

Les relais du Web
Si vous avez une page Facebook pour votre entreprise ou un compte Instagram ou bien si vous envoyez une infolettre (Newsletter),  ils seront les relais du Web pour votre contenu.  C’est bien beau de souhaiter un beau lundi ou bien de poster une photo ou encore une jolie phrase/citation sympa, mais à un moment vous risquez d’être à court d’inspiration et lasser votre communauté.  Si vous vous servez de ces outils (médias sociaux ou infolettre) pour annoncer votre dernier article sur votre blog, non seulement vous allez susciter l’intérêt et allez, en plus, attirer du monde sur votre site Web.  Ingénieux, non?
Avec du contenu dynamique sur votre site, si les plateformes de médias sociaux, pour n’importe quelles raisons, décident de fermer votre page, ou votre compte, votre communauté connaîtra déjà votre site web.

On est quand même là pour faire du business
Ça, c’est la réalité toute crue!  Oui, le blog sert à faire des affaires.  Comment, me direz-vous? En vous positionnant en tant qu’expert dans votre domaine, en partageant avec votre audience des informations pertinentes.  Vous devenez ainsi la référence dans votre domaine.  À sites Web égaux, agissant dans le même domaine d’activité, celui qui aura un blog au contenu pertinent et dynamique l’emportera haut la main.  Comme dans la vraie vie, imaginez deux vendeurs en face de vous : le premier vous expose ses produits et l’autre vous parle de son expertise, vous rassure, partage ses connaissances pour enfin vous présenter ses produits.  Auquel faites-vous le plus confiance?

Faisons face à nos peurs
Vous saviez ou découvrez que le blog est une tendance nécessaire qui ne va pas disparaître et au contraire se généraliser.  Qu’il a un rôle à jouer dans le référencement naturel (SEO) de votre site internet, qu’il est un lien avec votre communauté, qu’il vous positionnera en tant qu’expert et vous attirera des clients.  Je sais que le blog fait peur, surtout pour les très petites, petites et moyennes entreprises.  C’est la raison d’être du blog Flow Attitude : vous aider à pêcher des informations par-ci, par-là, répondre à vos questions, vous aider à y voir plus clair, semer des informations pour qu’un matin ait lieu une éclosion.
Et si vous avez des questions concernant le blog d’entreprise, son contenu, sa structure,etc., envoyez-moi un petit message, je me ferai un plaisir de vous répondre.
En attendant, soyons zen, tout arrive toujours à temps.

Voir aussi l’article « Organiser son blog »